Sébastien est venu nous voir avec une problématique atypique : il venait de recevoir sa feuille d’impôts. Il avait plus d’impôts à payer qu’il n’avait perçu de salaire sur la même année.

Cette situation atypique qui peut surprendre n’est pas un cas isolé et s’est déjà présentée à nous à plusieurs reprises.

Sébastien fait partie de ces personnes qui grâce aux fruits de son travail et de son épargne a pu emprunter, investir dans l’immobilier et mettre en place des projets immobilier lui permettant d’encaisser chaque mois un montant cumulé de loyers supérieur à son salaire mensuel.
Problématique les loyers sont certes encaissés mais en face il y a des charges et des crédits et quand comme Sébastien, par méconnaissance, on investit via le mauvais dispositif fiscal on se retrouve dans une situation ou la fiscalité payée est calculée non pas sur les gains nets mais sur la base imposable des loyers encaissés.

Dans cette situation on se retrouve vite dans une situation ou l’imposition devient étouffante et ou quand la somme des loyers encaissés est importante on se retrouve avec une imposition totale sur nos loyers + notre salaire qui va être égale à un montant supérieur à nos revenus nets.

Dans le cas de Sébastien :

– Il gagnait environ 3 000€ par mois

– Avait pu réaliser l’acquisition de 3 immeubles pour un montant total emprunté d’1 050 000€

– Il générait chaque mois, grâce à ses 3 immeubles, environ 8 000€ de loyers pour une fois le crédit et les charges payées environ 1 000€ de bénéfice immédiat et 3 800€/mois de capital amorti à récupérer dans un second temps au fur et à mesure de la vente des biens.

Problème, avec le mauvais régime fiscal et sans charges à déduire car Sébastien n’avait acheté que des biens 100% loués sans travaux, Sébastien s’est retrouvé dès la 2ème année avec 81% de ses loyers encaissés soumis à 30% d’impôts et 17,2% de CSG soit 1 944€ + 1 114 = 3 058€ d’impôts à payer par mois.

Notre accompagnement a eu pour but d’aider Sébastien à corriger son erreur fiscale, à réarbitrer 2 des 3 immeubles qui n’auraient pas dû être achetés malgré une belle rentabilité sur le papier pour ensuite repartir sur de bonnes bases avec des projets apportant des rentabilités similaires mais sans aucune fiscalité pendant plusieurs années grâce à l’usage du bon régime fiscal et des bonnes pratiques.